mercredi 12 mai 2010

Tchouang-Tseu -- traduction par Jean-François Billeter


Cette traduction du début du second chapitre, reconnu comme un des plus denses et obscurs de l'ouvrage, est parue dans le volume 44 (décembre 1994) de la revue Philosophie (Editions de Minuit).







Pour ce qui est des justes récriminations contre mon usage immodéré de la photocopieuse, voir ici, merci.



Le commentaire qu'en donne Jean-François Billeter dans le même volume a véritablement bouleversé ma lecture de Tchouang-Tseu par le lien profond qu'il établit avec la pratique de la méditation, bien au-delà des pirouettes habituelles qui assimilent rapidement la méditation à une forme particulière de réflexion et passent ensuite au commentaire (un exemple ici) sans s'arrêter sur que l'on ressent effectivement au cours de la méditation et comment cette expérience permet d'aborder ce texte "intégralement" ; ce commentaire est quand même bien trop long pour être posté sans autorisation (*).

Jean-François Billeter a depuis livré une version très amplifiée de ces travaux sur Tchouang-Tseu dans :

Leçons sur Tchouang-Tseu (Allia 2002), qui contient une version du commentaire de ce chapitre II
Etudes sur Tchouang-Tseu (Allia 2004)

A propos de Tchouang-Tseu, voir aussi la nouvelle traduction de Jean Lévi, Les Oeuvres de Maître Tchouang (Encyclopédie des Nuisances, 2006) et, du même, Propos intempestifs sur le Tchouang-Tseu : Du meurtre de chaos à la révolte des singes (Allia, 2004)

(*) chere.photocopieuse@gmail.com et un peu (beaucoup) de patience !